Le test de fragmentation fournit un indice de fragmentation de l’ADN (DFI), qui permet aux spécialistes de connaître le degré de pathologie et d’évaluer le meilleur traitement à suivre dans chaque cas particulier. Si le DFI est inférieur à 15 %, on estime qu’il s’agit d’un niveau de fragmentation normal. Entre 15 et 30 %, cet indice est considéré comme relativement élevé. Au-delà de 30 %, il est considéré comme pathologique.
Selon plusieurs études, un traitement à base d’antioxydants pourrait réduire de manière significative le niveau de fragmentation de l’ADN. Toutefois, il est possible que certains patients ne répondent pas bien à ce traitement, en particulier si les dommages causés à l’ADN sont dus à une exposition à des substances toxiques ou à une température élevée.
Si les résultats du test ne sont pas dans les limites de la normalité, l’équipe de Ginefiv conseillera au couple la solution la plus adaptée à sa situation.